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Kintsugi - Kintsukoroi ' The art of embracing damage... Being damaged can be part of the story!
The art of embracing damage... Being damaged can be part of the story!
Au japon, on répare les poteries brisées avec de l'or. Ainsi, on souligne qu'on sait que l'objet reparé a plus de valeur d'avoir été brisé, recomposé, reconstruit.
"Le kintsugi est un magnifique travail de jointure d’or : l’art de réparer les céramiques brisées avec de la laque saupoudrée de poudre d’or. De tsugu réparer relier, transmettre et donner de la valeur."
Au japon, on répare les poteries brisées avec de l'or. Ainsi, on souligne qu'on sait que l'objet reparé a plus de valeur d'avoir été brisé, recomposé, reconstruit.
"Le kintsugi est un magnifique travail de jointure d’or : l’art de réparer les céramiques brisées avec de la laque saupoudrée de poudre d’or. De tsugu réparer relier, transmettre et donner de la valeur."
"Une technique japonaise qui aurait sa source vers le 15ème siècle lorsque le Shogun Ashikaga a envoyé un bol
chinois cassé en Chine pour une restauration. Quand la pièce a été
retourné restauré avec de vilaines agrafes métalliques, les artisans
japonais ont développé une manière plus esthétique. […]
Très appréciée des Chajin japonais
(les pratiquants de l’art du thé), l’art du kintsugi a permis le
développement d’une esthétique nouvelle,appuyée sur l’idée de
réincarnation, donnant ainsi une nouvelle dimension et permettant une
renaissance de la pièce originelle."
Aureélie Soligny
La Permaculture - introduction
La permaculture est un
concept formalisé en 1978 par deux Australiens, Bill Mollison
et David Holmgren, sur la
base de travaux de chercheurs du monde anglo-saxon. L’idée d’une agriculture
permanente a été formulée en 1910 par un agronome américain, Cyril G. Hopkins,
puis reprise par son confrère Franklin Hiram King en 1911 dans son ouvrage de référence
sur les agricultures chinoise, coréenne et japonaise.
Inspirée du fonctionnement
des écosystèmes naturels, la permaculture invite à
un changement profond de
paradigme. Elle repose sur la richesse de la biodiversité et des interrelations
qui assurent le fonctionnement en boucle de l’espace mis en valeur : absence de
déchets, autonomie, auto-fertilité, résilience... Il ne s’agit donc pas d’une technique
agricole mais d’un système.
« Il a pour objet la
création d’installations humaines environnementalement durables et socialement
équitables, économes en ressources et en énergie et d’une productivité élevée,
réconciliant ainsi satisfaction des besoins alimentaires et préservation des
milieux. » (syntèse du CESE)
« La permaculture
repose sur des outils de design global
qui permettent de concevoir des systèmes bio-inspirés de toutes tailles pouvant
potentiellement être mis en œuvre partout et par tous. Elle opère une synthèse entre
des traditions parfois multimillénaires et l’apport des sciences modernes. Elle
est intensive en observation et en conception. »
Pour être productive et économiquement
performante, l’agriculture « permaculturelle » s’articule autour de quelques
grands principes consistant à :
–privilégier l’énergie
solaire et l’enrichissement des sols qu’elle permet plutôt que les énergies
fossiles (plus que la machine, la main humaine peut prendre soin des sols,
densifier les cultures et les associer) ;
–boucler les cycles, en
particulier ceux de la fertilité. Cette circularité se démarque de
l’agriculture linéaire, grosse consommatrice d’énergie et de matières premières;
–limiter le travail du sol
en évitant le labour et en cultivant sur buttes permanentes, technique très
productive pratiquée de très longue date dans de nombreuses
civilisations, y compris en
France ;
–donner aux arbres une place
centrale, les plantes vivaces étant à l’origine desterres arables ;
–étager les cultures pour
bénéficier d’un ensoleillement maximal, dans un souci de productivité ;
–associer les cultures pour
obtenir, avec leur densification, huit rotations de cultures par an, alors que
la moyenne en maraîchage bio est inférieure à deux rotations annuelles ;
–tirer parti des services
écosystémiques, notamment en veillant à l’épanouissement de la biodiversité :
un agrosystème diversifié est plus résilient, auto-fertile...
Biomimétisme _ definititon et histoire récente
Forgé à partir de deux racines grecques, bio, vie, et mimesis, imitation, ce néologisme désigne la démarche immémoriale de l’espèce humaine qui consiste à observer la nature et à s’en inspirer pour innover, améliorer sa condition, ses productions...
Le dictionnaire de
l’Académie dit quant à lui : Mimétisme, « dérivé savant du grec
mimêteos, adjectif verbal de
mimeisthai, “imiter” ».
et avant d'inventer le mot... en en fait déjà
Une légende chinoise fait
remonter la découverte de la soie au XXVIIème siècle avant Jésus-Christ, plus
précisément à l’observation par l’impératrice Leizu des nombreuses qualités du
fil produit par une larve accidentellement tombée dans sa tasse de thé depuis les
branches d’un mûrier.
Le ver à soie resta, pendant
de nombreux siècles, un secret jalousement gardé par la Chine…. Et puis, un chimiste
et ingénieur, Hilaire de Chardonnet, fut associé aux travaux de Pasteur, et
chercha à imiter en laboratoire le travail de la larve : il parvint en 1884 à
fabriquer une fibre présentant les qualités de la soie, qui fut donc baptisée
soie artificielle, à partir de cellulose et de collodion.
« L’exemple de la soie
est significatif à un double titre : il permet d’illustrer un premier
niveau d’inspiration, qui
consiste à observer la portion vivante de la nature en tant que productrice de
richesses et à utiliser, contrôler, accroître à notre profit celles que nous savons
identifier. »
Les formes et leurs matières
sont également des sources d’inspiration très anciennes
et diverses. Dans ses Commentaires
sur la guerre des Gaules, Jules César évoque à plusieurs reprises une formation
de ses légions, la tortuda ou tortue, où les boucliers oblongs courbés en
segments de cercles forment un mur à l’extérieur et un toit au-dessus des
têtes. L’historien romain Dion Cassius écrit à propos de cette manœuvre qu’on
l’appelle ainsi « à cause de sa consistance et parce qu’elle couvre
parfaitement ». Le procédé retenu par la nature (les écailles) et la forme de
la carapace inspirent la tactique militaire.
Pour rester dans le même
champ d’application, le
camouflage est bio-inspiré depuis l’origine
Léonard de Vinci conçut
quant à lui, à partir de l’observation des oiseaux, des projets d’hélice, de parachute
ou de planeur.
À la fin du XIXème siècle
Otto Lilienthal, pionnier de l’aviation, étudia les capacités de portance de
l’extrados de l’aile des oiseaux pour concevoir ses planeurs, avec lesquels il
effectua plusieurs vols. Clément Ader s’inspira des ailes de la chauve - souris
pour réaliser à partir de 1892 son « avion III » : « comme tous les pionniers
de l’aéronautique, Ader trouve son inspiration dans la nature. L’ingénieur a
beaucoup observé la roussette... celle-ci ne se limite pas, comme les autres
chiroptères, à battre fréquemment des ailes. Elle peut également effectuer de
courts vols planés, singularité qui fournit à Ader un modèle aérodynamique
original. »
Il imite donc l’ossature de
la roussette pour construire son appareil
On dit aussi que Gustave
Eiffel aurait utilisé pour ses structures
métalliques, en particulier celles de la célèbre tour éponyme, des travaux
basés sur l’observation d’une coupe sagittale de fémur.
L’architecture plus
généralement puise, depuis au moins l’Antiquité, son inspiration
dans la nature : pour les
colonnes de ses temples, l’Égypte antique substitue la pierre au bois des
origines en conservant la forme du palmier, ou choisit celles d’autres végétaux
comme le lotus et le papyrus.
...
La nature peut ainsi nous inspirer
des formes particulièrement efficientes, des procédés et matériaux
ultra-performant utilisés par le vivant pour répondre aux nécessités dictée par
son environnement, ou encore par les complexes et durables équilibres des écosystèmes…
... définition normalisée du biomimétisme
Seit den 1950er Jahren hat sich die Bionik konsequent weiterentwickelt. Weitere
Meilensteine waren 1960 in
Amerika ein Symposium, auf dem der Begriff ‘bionics’ erstmals auftaucht und im Jahre
1993 schließlich ein Symposium des VDIDeutschland, auf dem die führenden
‘Bioniker’ der Bundesrepublik festlegten, was Bionik ist, nämlich ‘eine
wissenschaftliche Disziplin, die sich mit der technischen Umsetzung und
Anwendung von Konstruktions-, Verfahrens- und Entwicklungsprinzipien
biologischer Systeme befasst.
Soit en français :
Depuis les années 1950 la
bionique n’a cessé de se développer. Des points d’étape méritent d’être
mentionnés :un colloque aux États-Unis en 1960, où le terme « bionique » a
émergé, et un colloque de l’Association des ingénieurs allemands (VDI) en 1993,
lors duquel les experts en bionique du premier plan de la République fédérale ont
défini la bionique comme « discipline scientifique qui traite de la mise en
œuvre technique et de l’application des principes de construction, de fonctionnement
et d’évolution des systèmes bibliologiques
…
La nature est une biliothèque, lisons la au lieu de la bruler. _ biomimétisme
La nature est une bibliothèque, lisons la au lieu de la bruler.
Idriss Aberkane
... Imaginez que nous ayons vécu dans une pièce pendant des milliers de générations et que dans cette pièce, s'entreposait des blocs de papiers sur des étagères. Imaginez que nous nous servions de ces blocs pour nous réchauffer en les brûlant au milieu de la pièce. Ce n'est pas bete, ca brule bien le papier! "Et puis, imaginez qu'un jour pas fait comme un autre, on se réveille en se rendant compte que cette pièce dans laquelle on vit depuis toujours n'est autre qu'une gigantesque bibliothèque et que les blocs de papiers sont en fait des livres composés de connaissances, de schémas, de traitements, de médicaments, d'ingénieries... "
"On aurait jusqu'alors, brûlé inconsciemment toutes les connaissances que nous prodigue cette gigantesque bibliothèque qu'est la Nature?? Un nouveau paradigme scientifique s'ouvre alors sous nos yeux : le Biomimétisme"
"Ca c’est le rapport de l’être humain à la nature, la nature est une bibliothèque, elle l’a toujours été et nous on l’a brûlée au lieu de la lire. Et ça fait peut-être 500 ans qu’on brûle la nature au lieu de la lire, en se croyant intelligent. Et les gens qui disaient « Non, non, il ne faut pas la brûler la nature elle est pleine d’informations, de connaissances et de sagesses », c’étaient les natifs, les natifs qui sont analphabètes, il s’avère qu’ils savaient lire la nature qui est une bibliothèque bien plus grande que nos bibliothèques."
Idriss Aberkane
... Imaginez que nous ayons vécu dans une pièce pendant des milliers de générations et que dans cette pièce, s'entreposait des blocs de papiers sur des étagères. Imaginez que nous nous servions de ces blocs pour nous réchauffer en les brûlant au milieu de la pièce. Ce n'est pas bete, ca brule bien le papier! "Et puis, imaginez qu'un jour pas fait comme un autre, on se réveille en se rendant compte que cette pièce dans laquelle on vit depuis toujours n'est autre qu'une gigantesque bibliothèque et que les blocs de papiers sont en fait des livres composés de connaissances, de schémas, de traitements, de médicaments, d'ingénieries... "
"On aurait jusqu'alors, brûlé inconsciemment toutes les connaissances que nous prodigue cette gigantesque bibliothèque qu'est la Nature?? Un nouveau paradigme scientifique s'ouvre alors sous nos yeux : le Biomimétisme"
"Ca c’est le rapport de l’être humain à la nature, la nature est une bibliothèque, elle l’a toujours été et nous on l’a brûlée au lieu de la lire. Et ça fait peut-être 500 ans qu’on brûle la nature au lieu de la lire, en se croyant intelligent. Et les gens qui disaient « Non, non, il ne faut pas la brûler la nature elle est pleine d’informations, de connaissances et de sagesses », c’étaient les natifs, les natifs qui sont analphabètes, il s’avère qu’ils savaient lire la nature qui est une bibliothèque bien plus grande que nos bibliothèques."
"La nature ça fait quatre milliards d’années qu’elle fait de la recherche et du développement, et du coup ses solutions sont époustouflantes, on n’arrive même pas à les comparer aux nôtres.
La nature est tellement High-tech que la comparaison avec nos technologies est considérée comme n’ayant pratiquement aucun sens"
"La nature par exemple imprime le silicium bien mieux que nous. Si vous prenez une goutte d’eau de mer il y a dedans des diatomées (c’est du phytoplancton) et elles impriment le silicium avec un niveau de détails exquis, dix nanomètre de précisions. Nos meilleurs fabricants de semi conducteurs comme Intel aujourd’hui n’arrivent pas à imprimer à plus de quatorze nanomètres. Et quand vous comparez une diatomée à une puce électronique la messe est dite, elles sont beaucoup plus High-tech que nous. Et la raison en est que ça fait soixante millions d’années pour les diatomées qu’elles font de la recherche et du développement. Dans une goutte d’eau de mer il y a des puces électroniques qui flottent et elles flottent en nous narguant depuis soixante millions d’années."
"Aller chercher l’inspiration dans la nature n’est pas une idée neuve. La pratique a été courante tout au long de l’histoire de l’humanit"... synthèse de l'avis du CESE qui invite Idriss Aberkane
"Aller chercher l’inspiration dans la nature n’est pas une idée neuve. La pratique a été courante tout au long de l’histoire de l’humanit"... synthèse de l'avis du CESE qui invite Idriss Aberkane
Quelques principes de fonctionnement des écosystèmes
dans la perspective tracée
par Hardin Tibbs ou Braden R. Allenby qui ont travaillé sur l’écologie
industrielle et envisagent le système industriel comme un cas particulier
d’écosystème, J. Benyus a dégagéune dizaine de principes du fonctionnement des
écosystèmes matures et complexes….
❐Utiliser les déchets comme ressources
Dans un écosystème mature,
production de biomasse et circuits de recyclage s’équilibrent. Ainsi, dans une
forêt, les végétaux morts sont récupérés et dégradés par des organismes
(champignon, moisissures, bactéries...), ces derniers redistribuant sous forme de
nutriments la matière ainsi transformée. Ce mode de fonctionnement n’est autre
que le modèle de l’économie circulaire
et plus encore de l’économie bleue,
qui consiste à boucler les flux de matières et d’énergie.
❐Ne pas «
souiller son nid »
Si des substances toxiques
existent dans le vivant, toutes les molécules qui présentent cette qualité sont
dégradables assez rapidement. En outre, les organismes ne les produisent qu’en
cas de besoin.
Par ailleurs, la modération
en matière d’utilisation d’énergie et de matériaux est généralement la règle.
❐Capter et
utiliser l’énergie avec efficacité
À l’exception des organismes
extraordinaires qui vivent dans la nuit des abysses et pratiquent la
chimiosynthèse, les écosystèmes reposent tous sur la photosynthèse. Les
photosynthétiseurs à l’œuvre sont exceptionnellement performants. En outre, le positionnement
des feuilles optimise leur exposition. « Ce processus efficace, qui recueille l’énergie
pour tous les êtres vivants, est un modèle pour tout écosystème» écrit Janine
Benyus.
Une fois que la végétation a
utilisé l’énergie captée pour croître et se reproduire, il ne reste que 10 %
d’énergie disponible au maillon suivant de la chaîne, les herbivores, puis 10 %
à nouveau pour celui d’après, les carnivores, et ainsi de suite. C’est ainsi
que « la pyramide de la vie est une véritable distribution de l’énergie, une
trace de la circulation de l’énergie solaire dans le système»
❐Optimiser
plutôt que maximiser
Un système mature se
caractérise par un taux de croissance moindre qu’à son origine et une faible
productivité. Il préserve la masse de ses matériaux et éléments nutritifs, et
les organismes y sont « récompensés » pour leur efficacité et leur capacité à
faire mieux avec moins. La diminution du rythme des flux conduit à une plus
grande stabilité du système et une plus grande résilience.
❐Ne pas
épuiser les ressources
En adaptant la forme à la
fonction, les organismes vivants optimisent leur production d’énergie et
l’utilisation de matériaux. La structure en nid d’abeille, qui allie espace
maximal et quantité minimale de matériaux de revêtement tout en assurant une
parfaite solidité de l’ensemble constitue un exemple de cette alliance entre
ingéniosité et minimalisme.
L’évolution a parfois permis
l’adaptation d’une même structure pour deux ou trois
fonctions. Ce réajustement
permanent favorise l’adaptation et les chances de survie avec une économie de
moyens maximale.
❐Se
diversifier et coopérer pour exploiter pleinement son habitat
Stimulés par les contraintes
(climatiques, géographiques, géologiques...) les systèmes naturels développent
une forme d’inventivité qui passe le plus fréquemment par le développement de
coopérations, voire de relations symbiotiques. Cette stratégie permet aux
organismes de s’attribuer des niches non concurrentes. Lorsqu’une niche est partagée,
l’allocation des ressources s’opère sans affrontements énergivores continues,
de sorte que les richesses d’un habitat sont réparties de façons optimales.
Pour évoquer ce mode de fonctionnement coopératif, l’écologiste Paul Colinvaux
emploie l’expression de « coexistence pacifique » bien qu’elle ne résulte pas
d’un pacte conscient entre les parties.
❐Se nourrir
d’informations
De nombreux canaux de
communication sont présents dans les communautés matures. Plus la biodiversité
est riche et le système complexe plus la coopération est efficace et plus les
organismes se doivent de développer des techniques pour signaler leurs
intentions à leurs voisins et interagir avec eux.
Ces messages sont nombreux,
éventuellement redondants et se révèlent performants dès lors que des
mécanismes de rétroaction vers tous les membres de la communauté sont assurés.
Un système qui permet aux changements affectant une composante de la communauté
de s’étendre à l’ensemble, lui permettant de s’adapter lorsque l’environnement évolue,
est gage de durabilité.
❐Utiliser
les matériaux avec parcimonie
Adaptant la forme à la fonction,
ils construisent du « sur mesure » avec le strict minimum de matériaux
(structure des rayons de miel...). L’évolution a en outre conduit ces
organismes à mettre à profit les structures ainsi créées pour remplir d’autres
fonctions. Avec cette adaptation, moins de dispositifs sont nécessaires à leur
survie.
❐Rester en
équilibre avec la biosphère
Les conditions nécessaires à
la vie résultent d’une série d’échanges des organismes avec leur milieu. Tout
ce qui est prélevé dans les stocks des principaux éléments biochimiques qui
composent la biosphère « à travers le processus de la photosynthèse, de la
respiration, de la croissance, de la minéralisation et de la décomposition est
remplacé dans les mêmes quantités : ainsi les stocks circulent mais ne
diminuent pas. »
❐Se fournir
localement
Faute de pouvoir importer où
de se déplacer sur de grandes distances, à l’exception notable des migrateurs,
les organismes vivant deviennent des experts de leurs propres milieux. La nature, en quelque sorte, « travaille sur
place ».
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